« Roulez jeunesse! » Mais d’où nous vient cette expression ? Wikipedia et un peu d’intuition nous renvoient aux fêtes foraines et à leurs « Tournez manèges, roulez jeunesse ! », « Roulez jeunesse » sur le stand des auto tamponneuses bien entendu ! L’auto tamponneuse comme rituel de passage permettant d’entrer dans la vie, la vraie ? La piste de circuit comme parcours initiatique où l’on cherche son parcours, avec des virages, parfois beaux parfois méchants, des coups durs et de bons moments passés à côté de l’âme sœur passagère d’un tour ou de plusieurs, au milieu de tant d’inconnus qui partagent la même course… Bref, de « Roulez jeunesse » à la crise existentielle il n’y a qu’un tour de piste… qui renvoie à l’adolescence et au passage à l’âge adulte.

Et maintenant on joue !

Dans la littérature, cette période de la vie est bien illustrée, par la fiction ou par les souvenirs et récits écrits dans le feu de l’action ou des années plus tard : ci-dessous quelques pistes de lecture qui peuvent largement être conseillés aux grands ados – jeunes adultes que nous sommes, avons été ou que nous connaissons.
Sur ce passage de leur vie, certains auteurs ont laissé de bons mots, connus ou moins connus. Saurez-vous retrouvez celles et ceux qui se cachent derrière ces citations ? Réponses à la fin du mois.

1 « On n’est pas sérieux quand on a 17 ans. »

2 « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. »

3 « Si j’avais écrit sur moi-même à vingt ans, le résultat aurait été un texte aussi agressif que combatif. »

4 « La solitude effraie une âme de vingt ans. »

5 « Pour retrouver ma jeunesse, je ferais n’importe quoi au monde, sauf prendre de l’exercice, me lever tôt ou mener une vie respectable. »

6 « Vingt ans. Cet âge décourageant où l’on croit encore que tout est possible. »

7 « Devenir adulte, c’est oser se retourner et, enfin, faire face aux loups. »

 

Pistes de lectures

 

Amore 14 de Federico Moccia

Les illusions adolescentes d’Adel Deco

Vacances dans le Caucase de Maria Iordanidou

Goodbye Berlin de Wolfgang Herrndorf

Les anges des gratte-ciel de Tove Nilsen

La légèreté d’Emmanuelle Richard

Du plomb dans le crane d’Insa Sané